1 Février 2017
La Journée mondiale du Hijab a été marquée à St. Catharines avec des activités visant à instruire le public au Hijab.
L’événement a été participé par une section transversale de la communauté.
Certains participants ont eu la chance d’essayer le hijab et de garder le foulard.
Janet Epp était à la mosquée pour satisfaire sa curiosité de visiter la maison de la prière. Elle était à la mosquée pour montrer son soutien à la communauté musulmane compte tenu des incidents aux États-Unis et au Québec.
Elle a déclaré que le multiculturalisme était complètement positif pour le Canada.
« Je suis tellement heureux de le porter », elle a dit.
Un participant et un citoyen de St Catharines qui voulait rester anonyme a déclaré qu’elle assistait à l’événement pour supporter la communauté musulmane qui ont eu dernièrement une semaine difficile.
Elle a mentionné l’interdiction faite aux citoyens de certains pays musulmans d’entrer aux États-Unis par le gouvernement américain et la situation tragique au Québec au cours de laquelle 6 hommes musulmans ont été tués pendant une prière dans une mosquée à Québec.
« J’avais hâte de ce jour parce que je n’ai jamais été dans une mosquée », elle a dit.
Sœur Bilkis de la fondation Gamer, l’organisatrice de l’événement a déclaré qu’elle a connu la Journée mondial du Hijab l’année dernière. Elle a vu qu’il se passait aux États-Unis et elle a décidé de l’amener à St. Catharines.
« C’était ma première de le faire, c’était 2016. »
« Par étonnement, plusieurs sont venu et plus de 200 écharpes ont été distribuées. Les gens avaient tant de questions et voulaient savoir comment porter le hijab ».
Nous les avons invités dans notre mosquée et les gens l’ont essayé et ont pris les foulards à la maison », elle a noté.
Certaines participantes voulaient savoir si le hijab est forcé sur les femmes musulmanes. « Vous n’êtes pas obligé de le porter », a déclaré Sœur Bilkis. Elle porte le hijab pour sa foi et pendant ses prières.
«Je suis là pour célébrer la diversité», explique le président régional de Niagara, Alan Caslin.
« Le Canada est un pays d’immigrants composé d’immigrants. Mes parents sont des immigrants. C’est un pays qui célèbre la diversité. »
« Ensemble avec cette culture diverse, nous sommes plus forts. Et nous devons célébrer cela, et nous le faisons. »
« Il n’y a pas de place pour la haine, à Niagara ni partout en Ontario, au Canada ou dans le monde ».
Mosaic Edition a observé une longue ligne de participants qui attendaient patiemment d’essayer le hijab
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